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La taxe d’habitation supprimée définitivement en 2022 en France

La taxe d’habitation sera bien supprimée pour tous les foyers. Le ministre de l’Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, l’a assuré début avril à l’Assemblée nationale en réponse à une question de la députée Christine Pires-Beaune et a même fixé une échéance : ce sera pour 2022. Cette annonce met fin à une réelle incertitude. Pour mémoire, une réforme a déjà été engagée en vue de supprimer progressivement la taxe d’habitation pour 80 % des ménages. Cette réforme aboutira en 2020. Restait à traiter le cas des 20 % de ménages les plus aisés. Le gouvernement avait évoqué, l’an passé, l’idée d’une suppression totale de la taxe d’habitation. Mais en janvier dernier, Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie, avait semé le doute en évoquant un possible maintien de la taxe d’habitation pour ces ménages aisés.

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5 idées sur l’immobilier neuf

On a toujours tendance à penser que l’achat immobilier dans le neuf profite essentiellement aux investisseurs. La loi Pinel leur offre en effet de gros avantages fiscaux. Pourtant, le neuf ne leur est pas réservé, loin de là, il y a même de bonnes affaires à réaliser.

 

Sur la typologie d’achat : investissement locatif ou résidence principale

Il n’est pas obligatoire pour un particulier d’acquérir un logement neuf pour en faire sa résidence principale. Il est même possible d’investir dans le locatif sans être déjà propriétaire. Pour diminuer les risques de loyers impayés, les études montrent qu’il faut privilégier les petites surfaces ou les zones géographiques très demandées, donc pas nécessairement à côté de chez soi.

Sur le logement

Tous les appartements ne sont pas obligatoirement identiques. L’acquéreur peut modifier le plan d’aménagement de son bien immobilier s’il s’y prend suffisamment tôt : ajouter des placards, modifier une cloison, préférer une douche à une baignoire…

Il pourra aussi choisir les revêtements, le mobilier de la salle de bain et de la cuisine, la couleur des murs.

 

Sur la négociation

Il n’y a pas moins de marge de négociation dans le neuf que dans l’ancien. Le promoteur a besoin d’un certain nombre de réservations pour lancer la construction de son programme immobilier. Les premiers acheteurs obtiennent ainsi souvent des rabais intéressants tout comme ceux qui s’intéressent aux invendus. Par ailleurs, le dépôt de garantie est plafonné à 5 % du montant de la vente.

Sur l’apport financier

Il est possible d’investir dans un logement neuf avec un apport minimum. Il suffit de faire jouer la concurrence entre les banques : certaines demandent au moins 20% du montant total du prêt, d’autres rien.

Le promoteur en revanche exigera le versement d’un acompte à la réservation.

 

Sur les prêts immobiliers

Contrairement aux idées reçues, il est possible de financer son logement neuf au moyen de plusieurs prêts, celui de la banque cumulé à un prêt à taux zéro par exemple. Il faudra juste que les revenus des acquéreurs ne dépassent pas le plafond prévu en regard de la composition de leur famille. D’autres aides sont cumulables : prêt action logement (ancien 1 % logement), prêt d’accession sociale, microprêts à taux bonifiés (s’adresser à la région). L’ensemble du crédit ne doit cependant pas excéder 33 % des revenus, sauf si ces derniers sont particulièrement élevés.

Sur la défiscalisation

Les programmes immobiliers neufs ne profitent pas qu’aux investisseurs. Ils offrent également des avantages certains aux particuliers qui souhaitent en faire leur résidence principale, y compris les primo-accédants :

  • des frais de notaire réduits, 2 à 3 % contre 7 à 8 % dans l’ancien. Dans certains cas, ils sont même offerts ;
  • moins d’entretien les premières années donc moins de charges de copropriété aussi. Les performances énergétiques baissent également les factures de chauffage dans les parties communes ;
  • un style plus contemporain ;
  • une isolation thermique et phonique très performante donc des économies à la clé et un confort accru ;
  • une exonération des taxes foncières et d’habitation les deux premières années selon les communes avec l’accord du maire.
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DES CONSEILS POUR UNE MEILLEURE VUE D’ENSEMBLE DE LA PRÉVOYANCE

DES RÉPONSES PLUTÔT QUE DES QUESTIONS

DES CONSEILS POUR UNE MEILLEURE VUE D’ENSEMBLE DE LA PRÉVOYANCE

 

Que vous souhaitiez garantir votre niveau de vie antérieur par la constitution d’un capital ou en percevant une rente, qu’il s’agisse de vous couvrir vous-même ou de couvrir vos proches: les produits que nous proposons vous permettent de choisir la solution qui correspond le mieux à vos besoins. Nous vous soutenons dans votre prise de décision et avons regroupé pour vous les principaux thèmes sur la prévoyance privée.

 

Surprenant, mais vrai: la répartition de l’héritage est une affaire privée, à condition que toutes les personnes concernées s’entendent. Il en est tout autrement des avoirs des 2e pilier (LPP) et 3e pilier (3a et b). Il vaut la peine de se renseigner à temps et de tenir compte d’un partenaire.

La répartition de l’héritage est-elle une affaire privée? Oui. L’État fixe certes des contraintes légales, mais une communauté héréditaire ne doit pas s’y tenir si toutes les personnes concernées s’accordent sur la répartition. Dans le cas d’un testament ou d’un pacte successoral, le principe est le même: si tout le monde est d’accord, l’héritage peut être réparti librement.

AVOIRS DU 2E PILIER

Ici, il faut savoir que les caisses de pension sont soumises aux dispositions relatives à la prévoyance professionnelle et non au droit successoral. Si l’assuré décède, la caisse de pension verse une rente de survivants au conjoint et/ou aux enfants sous certaines conditions. En l’absence d’enfants ou de conjoint, la loi n’oblige pas les caisses de pension à verser l’argent aux autres héritiers (comme concubin, parents, frères et sœurs). Le règlement précise si la caisse de pension prévoit un tel versement en capital ou non. Vous trouverez des informations complémentaires à ce sujet dans le guide Pax Mariage et partenariat enregistré / concubinat.

AVOIRS DU 3E PILIER

Les droits découlant des assurances-vie ne sont pas soumis au droit successoral et partant pas non plus aux parts obligatoires. Toutefois, les polices ayant une valeur de rachat sont incluses dans le calcul des parts obligatoires, mais pas pour le paiement. Il faut également souligner que le droit à la somme d’assurance persiste, même si les héritiers légaux refusent l’héritage pour surendettement de la succession.

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LA PRÉVOYANCE SOCIALE EN SUISSE

Prévoyance étatique, professionnelle et individuelle. C’est la réponse flexible de la Suisse aux exigences élevées et parfois difficilement prévisibles de la prévoyance vieillesse et de la garantie des revenus. L’objectif est d’assurer des revenus adaptés en cas d’incapacité de gain, de sortie de la vie active ou, pour les survivants, dans le cas d’un décès prématuré.

LE FRUIT D’UNE ÉVOLUTION HISTORIQUE

Le modèle suisse des trois piliers combine la prévoyance vieillesse obligatoire de l’Etat avec des contributions des entreprises et des individus. Ce modèle n’est pas le fruit du hasard, mais un héritage historique. Dès le XIXe siècle, de petites caisses de retraite ayant un nombre restreint de membres furent fondées en Suisse. Ces premiers éléments d’une communauté solidaire ont été depuis lors constamment perfectionnés et ont inspiré l’évolution du modèle suisse des trois piliers. Ce n’est certes qu’en 1972 qu’il a été accepté par votation populaire, mais jusqu’à ce jour, il a fait preuve d’une étonnante flexibilité. La manière dont va évoluer le modèle suisse des trois piliers à l’avenir reste essentiellement une question de politique.

INSCRIT DANS LA CONSTITUTION FÉDÉRALE

En Suisse, la loi fédérale sur l’assurance-vieillesse et survivants (LAVS) est en vigueur depuis 1948. Elle constitue le 1 er pilier et règlemente la prévoyance vieillesse étatique basée sur la répartition. L’AVS représente pratiquement la base du revenu des personnes âgées, que les prestations du 2e pilier de la prévoyance professionnelle viennent utilement compléter. Le modèle des trois piliers est inscrit dans la Constitution fédérale depuis 1972. Sa particularité réside dans la combinaison de la prévoyance vieillesse de l’Etat, des entreprises privées et des individus. L’Etat et les employeurs ont donc légalement la responsabilité d’apporter une contribution significative pour assurer des revenus appropriés aux personnes à la retraite.

LES ASSUREURS PRIVÉS

L’évolution sociale actuelle a une influence à long terme sur la structure du modèle: d’une part, le vieillissement démographique menace l’efficacité d’une AVS financée par répartition parce que statistiquement de moins en moins de travailleurs subviennent aux besoins d’un nombre toujours plus important de retraités. D’autre part, l’abaissement du taux d’intérêt minimal LPP et les faibles taux d’intérêt du marché des capitaux entraînent une réduction considérable du capital de vieillesse de la prévoyance professionnelle. Etant donné que la prévoyance étatique et professionnelle des 1er et 2e piliers se trouve soumise à une énorme pression, la prévoyance individuelle du 3e pilier est appelée à avoir de plus en plus d’importance. Le secteur de l’assurance privée prend en charge ces problèmes et contribue également, grâce à ses solutions d’assurance, à l’accomplissement sur le long terme de cette mission de la Confédération.

 

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Investir en zone frontalière France-Suisse

De plus en plus de frontaliers travaillent en Suisse et conservent un bien immobilier en France. Faut-il pour autant investir en zone frontalière? Et qu’est-ce que cela change? On vous dit tout.

 

Investir à la frontière franco-suisse

On les appelle les navetteurs. Ces personnes qui travaillent dans un pays et vivent dans un autre. C’est le cas de nombreux frontaliers résidant en France, qui passent la frontière Suisse pour aller travailler, profitant ainsi de salaires moyens plus élevés qu’en France. Les prix de l’immobilier français étant plus abordables que ceux de la Suisse, le bénéfice est non-négligeable et attirent les Suisses eux-mêmes.

Selon les données des notaires de France, à Annecy par exemple, le prix médian pour l’acquisition d’une maison est de 468 500 euros et de 3610 euros le m2 pour un appartement. À Aix-les-Bains, les prix des appartements sont en hausse de 5% sur un an. Le prix médian s’élève à 353 800 euros pour une maison et à 2680 le m2 pour un appartement. Quant à Saint-Julien-en-Genevois, le prix moyen du m2 est d’environ 4200 euros. De l’autre côté de la frontière, comme à Genève, le prix du m2 est plus élevé: comptez en moyenne 10 611 euros par m2 habitable.

 

Zone frontalière: avantages et inconvénients

Le principal avantage lorsqu’on investit en zone frontalière est le ratio revenus, cout de la vie, et prix immobiliers: en France, l’immobilier est plus abordable et le cout de la vie inférieur à celui de la Suisse où par ailleurs, les salaires sont plus élevés. L’investissement locatif est donc particulièrement rentable dans cette région. En outre, l’achat dans le neuf s’avère être une bonne option et cela tombe bien car de nombreux logements neufs sont disponibles tout le long de la frontière.

Afin de rééquilibrer l’offre et la demande de biens immobiliers, le gouvernement souhaite inciter les propriétaires à vendre leurs terrains constructibles. De quelle manière? En les faisant bénéficier d’un abattement sur les plus-values immobilières si la vente s’effectue dans le cadre de la construction de logements. Le but est de stabiliser la demande et les loyers.

 

Alors, on investit ou non?

Selon Seloger.com, si vous avez les moyens d’investir, mieux vaut privilégier la Haute-Savoie, zone d’origine principale des navetteurs travaillant à Genève. La ville d’Annecy présente aussi de réels atouts, l’autoroute la reliant à Genève augmentant son attractivité. L’Ain, et notamment le pays de Gex, est souvent présenté comme un endroit stratégique pour les futurs investisseurs. L’Alsace recèle, elle aussi, un fort potentiel. Plusieurs programmes neufs sont planifiés dans la zone frontalière, une bande de 15m en profondeur depuis la frontière suisse.

Lorsque vous investissez, soyez attentifs à plusieurs facteurs. Tout d’abord bien sur, veillez à la rapidité des liaisons entre les deux pays. Favorisez également les petites et moyennes surfaces qui sont recherchées par les familles comme par les célibataires, notamment dans l’immobilier ancien.

 

Ainsi renseignés, vous n’avez plus qu’à vous lancer! Remplissez le formulaire de demande de contact, nous le ferons sur 48 H.

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Calcul de la rentabilité d’un investissement locatif

Immobilier : calcul de la rentabilité d’un investissement locatif

Pour savoir si un investissement immobilier est intéressant, le calcul de sa rentabilité locative est essentiel. En fonction du prix du bien immobilier et des loyers payés par les locataires, vous pouvez mesurer la performance de votre investissement. Taux de rendement brut ou net, Wayne Home Investments vous aide à faire le calcul de votre rendement locatif.

Le rendement locatif brut

Le rendement locatif brut est le ratio qui mesure le revenu brut que rapporte la mise en location du logement par rapport au prix d’achat du bien concerné. La rentabilité locative s’exprime en pourcentage et se calcule sur une base annuelle. Pour la calculer, il suffit de diviser le loyer annuel par le prix du logement, et de multiplier par 100.

Exemple : pour un appartement acheté 150 000€ avec un loyer mensuel de 550 €, votre investissement va vous rapporter 4.4 % : [(550×12) / 150 000] x 100 = 4.4

Si le taux de rendement brut est à considérer avec attention, il convient néanmoins de prendre en compte d’autres variables, comme les impôts ou les charges, pour un calcul d’investissement locatif plus précis. Il s’agit alors de calculer le rendement locatif net.

Le rendement locatif net

En ce qui concerne le calcul de la rentabilité nette pour un investissement immobilier, la formule de base reste identique, mais il faut intégrer les différents éléments qui vont engendrer un impact financier, comme les impôts fonciers, les charges de copropriété et les impôts éventuels sur les revenus locatifs.

Reprenons l’exemple précédent de notre appartement : il faut soustraire du loyer annuel la taxe foncière (500 €), 10 % de frais de gestion et 300 € de charges supplémentaires, soit 500 + 660 + 300 = 1460 €. Le taux de rendement de l’investissement locatif est alors de 3.4 % [(550×12) -1460 / 150000] x 100 = 3.4

En intégrant l’ensemble des frais supportés, le rendement locatif net permet de juger plus précisément de l’intérêt ou non d’un investissement immobilier.

Enfin, pour aller plus loin et calculer les gains réels générés par votre investissement, vous devez prendre en compte la fiscalité de votre placement. En effet, la rentabilité locative peut être revue à la hausse si vous bénéficiez de dispositifs permettant d’obtenir des réductions ou crédits d’impôts, comme la loi Pinel par exemple.