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L’Année Idéale pour Investir dans l’Immobilier Neuf grâce à la Baisse des Taux Bancaires

Avec l’annonce récente d’une baisse des taux bancaires en France pour 2024, les investisseurs et futurs propriétaires se trouvent face à une opportunité en or. Cette nouvelle, particulièrement réjouissante pour le secteur immobilier, ouvre des portes vers des possibilités d’investissement jusque-là inexplorées. Wayne Home Investments se penche sur les implications de cette tendance et vous guide à travers les avantages d’investir dans l’immobilier neuf à ce moment stratégique.

Pourquoi la Baisse des Taux Bancaires en 2024 est une Aubaine pour l’Immobilier Neuf ?

La baisse prévue des taux d’intérêt bancaires rend le financement plus accessible pour de nombreux acheteurs, réduisant ainsi les coûts d’emprunt et augmentant le pouvoir d’achat immobilier. Cela signifie que l’accès à la propriété, en particulier à l’immobilier neuf, devient plus abordable, offrant une opportunité unique pour ceux qui souhaitent investir ou acquérir leur résidence principale.

Avantages de l’Investissement dans l’Immobilier Neuf

  • Économies d’Énergie et Confort : Les bâtiments neufs respectent des normes élevées en matière d’efficacité énergétique, garantissant des économies substantielles sur les factures d’énergie et un meilleur confort de vie.
  • Moins de Frais d’Entretien : Investir dans du neuf signifie moins de soucis d’entretien à court et moyen terme, une économie non négligeable pour les propriétaires.
  • Garanties Constructeur : Les biens neufs bénéficient de garanties étendues offertes par les constructeurs, protégeant votre investissement de manière significative.
  • Potentiel de Valorisation : Les propriétés neuves ont tendance à se valoriser plus rapidement, offrant un meilleur retour sur investissement à long terme.

Comment Wayne Home Investments Peut Vous Aider ?

Chez Wayne Home Investments, nous comprenons l’importance de saisir les opportunités au bon moment. Notre équipe d’experts est dédiée à vous fournir des conseils personnalisés et à vous aider à naviguer dans le marché immobilier avec assurance. Que vous soyez à la recherche de votre première acquisition ou que vous souhaitiez élargir votre portefeuille d’investissement, nous sommes là pour transformer vos objectifs en réalité.

 

La baisse des taux bancaires en 2024 représente une fenêtre d’opportunité exceptionnelle pour les investisseurs et les acheteurs dans l’immobilier neuf. Wayne Home Investments vous invite à explorer ces possibilités avec nous, en bénéficiant de notre expertise et de notre accompagnement sur mesure. L’avenir de l’immobilier est prometteur, et le moment est venu d’en profiter.

Contactez-nous dès aujourd’hui pour discuter de vos projets immobiliers et découvrir comment nous pouvons vous aider à saisir les meilleures opportunités du marché.

 

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5 astuces pour négocier un prêt immobilier

Préparer votre rendez-vous avec la banque

Pour que la négociation soit la plus « équilibrée » possible, n’hésitez pas à vous informer sur les tenants et les aboutissants d’un crédit : les différentes étapes, les éléments abordés pendant l’entretien, la marge de négociation traditionnelle, etc. Plus vous recueillerez d’informations en amont, plus vous serez à l’aise pendant le rendez-vous.

 

Apport personnel, assurance prêt immobilier, garanties, familiarisez-vous également avec le vocabulaire. Face à votre banquier, vous parlerez ainsi « le même langage ».

 

Enfin, renseignez-vous sur les taux pratiqués et la situation actuelle du marché immobilier. Notez qu’un contexte inhabituel (économique, politique ou sanitaire) peut rendre la négociation plus ou moins avantageuse.

Construire un dossier solide pour le crédit

Pour faciliter la négociation de votre emprunt, vous pouvez vous appuyer sur plusieurs éléments.

Le taux d’endettement

Le taux d’endettement définit votre capacité maximale de remboursement. La plupart des banques fixent ce taux à un tiers des revenus mensuels, soit 33%. Concrètement, si un ménage touche 3000€ cumulés par mois, et que son taux d’endettement est de 33%, les mensualités ne pourront pas dépasser 990€.

 

Notez qu’il ne s’agit pas là d’une règle immuable. La banque peut choisir de diminuer ce pourcentage à 30% si elle considère que vos ressources sont trop modestes. En revanche, si vous avez des revenus importants et stables, votre conseiller estimera peut-être que votre dossier emprunteur est suffisamment solide pour aller au-delà de ce pourcentage (35%, voire 40% dans certains cas).

Le reste à vivre

Cette notion désigne tout simplement le montant qu’il vous restera pour « vivre », après avoir payé l’ensemble de vos charges fixes (y compris votre mensualité de crédit). La majorité des banques fixent le seuil à 400€ par ménage (+ 150€ par personne à charge), mais certains établissements exigent au minimum 600€. Vous l’avez compris, plus cette somme est importante, plus vous aurez de poids pour négocier votre prêt.

L’apport personnel

Bien qu’il soit aujourd’hui possible d’acheter un bien sans apport, de nombreuses banques continuent d’appliquer ce principe. Ainsi, votre établissement peut vous demander une somme correspondant à 10% de la valeur du bien (par exemple 15 000 € d’apport pour un achat à 150 000€). Dans certains cas, un apport de 20 ou 30% peut vous permettre d’accéder à de meilleurs taux. Dans tous les cas, avec cette somme, vous prouvez votre capacité d’épargne à la banque.

Nous conseillers, proposent lors du premier entretien avec nous clients, un calcule de budget, ou nous respectons tous les critères en valeur, afin d’optimiser vous chance s d’acceptation de dossier de financement.

N’hésitez pas a remplir le formulaire de contact afin d’obtenir un rendez-vous découvert avec un de nous agents.

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Crédit immobilier : des taux toujours intéressants

Des taux d’intérêt au plus bas en février, des conditions d’accès aux crédits immobiliers assouplies par l’HCSF… autant d’indicateurs positifs pour les futurs acquéreurs.

En dépit de la crise sanitaire, le début de l’année 2021 semble propice à l’achat immobilier, et ce, même pour les ménages modestes. D’une part, les taux des crédits immobiliers pratiqués début février marquent une très forte baisse – atteignant des seuils inférieurs au niveau de décembre 2019.

D’autre part, le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) a assoupli le taux d’endettement maximal toléré pour l’obtention d’un prêt immobilier, faisant passer ce taux fatidique de 33 % à 35 %. Même si certaines banques se montrent encore réticentes à appliquer ces nouvelles directives, la conjoncture actuelle se révèle favorable à l’achat immobilier.

 

Prêt immobilier : des taux d’intérêt au plus bas en février

En ce premier trimestre 2021, les courtiers immobiliers ont constaté une diminution des taux des crédits immobiliers. En février dernier, les taux sont même descendus en dessous du plancher symbolique atteint en décembre 2019. Selon une étude, les taux moyens des emprunts immobiliers s’établissaient en février à 0,84 % sur 15 ans, 1,01 % sur 20 ans ou encore 1,26 % sur 25 ans.

Pour les meilleurs profils d’emprunteurs, le taux d’intérêt assorti au crédit pouvait même se fixer à moins de 1 %. Les établissements bancaires et organismes prêteurs pratiquent des taux historiquement bas en ce début d’année 2021. Ces records à la baisse s’expliquent notamment par le haut niveau d’épargne des Français, et des Suisses (21 % en 2020), qui pousse les banques à proposer des offres de prêt très attractives. La crise sanitaire a poussé les particuliers à économiser pour conforter ce « matelas » de sécurité.

Crédit immobilier : des conditions d’octroi assouplies par l’HCSF

Autorité macro prudentielle française, le Haut Conseil de Stabilité Financière a pour rôle de surveiller le système financier dans son ensemble. En décembre 2020, cette instance a formulé des recommandations relatives aux conditions d’octroi des crédits immobiliers.

Afin de soutenir le pouvoir d’achat des ménages, dans un contexte sanitaire et économique compliqué, l’HCSF a décidé d’assouplir le taux d’endettement maximum des ménages autorisé dans le cadre de l’attribution d’un prêt immobilier, en le faisant passer de 33 % à 35 %. Ces recommandations ont fait l’objet d’une publication officielle le 27 janvier 2021. L’objectif de l’HCSF ? Faciliter l’accès au crédit immobilier des particuliers.

Pour rappel, le taux d’endettement correspond au ratio entre charges fixes (remboursement de crédits…) et le reste à vivre des ménages. Jusqu’en janvier, au-delà de 33 %, les banques considéraient que le risque d’insolvabilité des clients trop élevé, ce qui motivait un refus de prêt.

Désormais, le curseur est donc placé à 35 %, ce qui augmente mécaniquement le nombre de ménages pouvant accéder à un crédit immobilier. Sur le papier du moins, car, dans les faits, peu de banques ont déjà revu leurs conditions d’octroi. Pour remédier à cette frilosité, l’HCSF compte rendre ses recommandations obligatoires dès l’été 2021.

 

Le bon moment pour réaliser un achat immobilier

Si vous n’êtes pas encore propriétaire de votre résidence principale ou si vous souhaitez investir dans l’immobilier pour faire fructifier votre argent, 2021 semble le bon moment pour concrétiser un projet immobilier.

Faisant un véritable pied de nez à la crise sanitaire, l’immobilier se porte bien, rassurant encore et toujours face à l’instabilité économique ambiante. Les records à la baisse des taux des crédits et à l’augmentation du taux d’endettement autorisé pour l’octroi d’un crédit favorisent l’accès au crédit immobilier, condition sine qua non pour réaliser un achat immobilier. Vous envisagez d’acheter un logement neuf pour le louer ? En fonction du secteur et de critères liés au logement et au locataire, vous pouvez parallèlement bénéficier à une réduction d’impôts grâce à la loi Pinel, reconduite jusqu’en 2022.

Vous envisagez d’acheter un logement neuf, veuillez remplir notre formulaire de contact, et un conseiller Wayne Home Investments vous appel afin de prévoir un entretien en agence.

 

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Les droits et devoirs du propriétaire

En tant que propriétaire, vous avez des devoirs envers votre locataire. Bien sûr, vous avez aussi des droits que vous pouvez faire valoir. Marignan vous explique ce qu’implique de devenir propriétaire bailleur.

 

Réaliser un investissement locatif est une belle aventure immobilière qui permet de se constituer un patrimoine. Toutefois, n’oubliez pas que vous avez des devoirs envers votre locataire.

Bien sûr, vous avez aussi des droits que vous pouvez faire valoir. Marignan vous explique ce qu’implique de devenir propriétaire bailleur. 

Les obligations du propriétaire

Commençons par les obligations qui vous incombent si vous avez décidé de réaliser un investissement locatif.

Fournir un logement décent

Le propriétaire est tenu de fournir un logement décent à son locataire. Cela répond à certains critères définis par un décret de 2002 qui impose d’assurer la sécurité physique et la santé des occupants. Le logement doit être doté d’une installation électrique, d’eau froide et d’eau chaude, de sanitaires, etc. Ce décret impose en outre une surface minimale de 9 m².

Depuis 2018, la performance énergétique est un critère de décence. Cela implique une étanchéité à l’air suffisante ainsi qu’une aération satisfaisante du logement.

Fournir un bail clair et complet

La location doit faire l’objet d’un contrat de bail qui indique le montant du loyer, du dépôt de garantie, des caractéristiques du bien et des règles à respecter par le locataire. Ce bail doit être accompagné d’un état des lieux d’entrée qui permettra, au terme du bail, de définir les responsabilités de chacun en cas de dommage.

Réaliser les travaux nécessaires

Certains travaux sont à la charge du propriétaire, tandis que le locataire doit assurer l’entretien du logement. Aussi, le propriétaire doit effectuer les réparations nécessaires au confort du locataire (changement de toiture, changement de ballon d’eau chaude, de radiateur, travaux d’isolation, etc.).

Respecter les droits du locataire

Le propriétaire, dès lors qu’il a remis les clés au locataire, ne peut s’imposer chez lui sans raison valable. Par raison valable, nous entendons la nécessité de réaliser des travaux par exemple.

Envoyer une quittance de loyer

Si l’envoi de quittance n’est pas obligatoire, il le devient dès lors que le locataire en fait la demande.

 

Les droits du propriétaire

Si le propriétaire a des obligations, il a aussi des droits qui doivent être respectés par le locataire.

Fixer le loyer

Le bailleur est libre de fixer son loyer comme il l’entend. Il n’existe pas de barèmes en la matière. Toutefois, le montant du loyer ne peut être surévalué, au risque de ne pas trouver de locataires.

Notez que si vous avez réalisé un investissement locatif dans le cadre de la loi Pinel qui permet, rappelons-le, de réduire votre imposition, le montant du loyer est cette fois plafonné. Si vous fixez un loyer supérieur aux plafonds, vous pouvez perdre le bénéfice de ce dispositif de défiscalisation.

Récupérer le montant des charges locatives

Dans la cadre d’un investissement dans un immeuble collectif, différentes charges sont facturées au propriétaire. Or, certaines d’entre elles sont des charges récupérables, elles peuvent donc être répercutées au locataire.

Les charges locatives concernent des prestations dont le locataire bénéficie, c’est ce qui explique qu’il soit dans l’obligation de les payer. Parmi les charges récupérables, citons :

  • l’électricité
  • l’eau
  • les petites réparations des parties communes
  • l’entretien des parties communes
  • les frais de personnel en charge des parties communes
  • les frais de gardiennage
  • l’entretien des espaces extérieurs
  • la redevance d’assainissement
  • la taxe de balayage
  • etc.

Demander une assurance habitation à son locataire

Dans le cadre d’une location, c’est le locataire qui doit s’assurer au titre des risques locatifs. Ceci est une obligation, le bailleur est en droit de demander une attestation d’assurance à l’entrée dans le logement puis tous les ans. La loi Alur est venue renforcer le droit des propriétaires. Aussi, si le locataire n’a pas souscrit d’assurance habitation, le bailleur peut en souscrire une pour son compte.

Non seulement le locataire est tenu de rembourser le montant de la prime mensuelle, mais le bailleur peut majorer le montant de 10 % pour avoir effectué lui-même les démarches. 

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Prêt immobilier : hypothèque ou caution bancaire ?

La banque qui accorde un prêt immobilier prend un risque. Pour se protéger, elle exige une garantie financière. Il peut s’agir d’une caution , d’une hypothèque ou encore d’un privilège de prêteur de deniers.

La caution bancaire

La caution bancaire (ou cautionnement bancaire) est assuré par les établissements financiers ou d’assurance ou encore les mutuelles professionnelles.

Les conditions financières proposées varient d’un établissement à l’autre et selon le montant emprunté, le montant des échéances et l’âge de l’emprunteur. Les sommes versées par l’emprunteur correspondant au coût de la caution sont restituées en fin de contrat par la plupart des établissements mais ces sommes n’étant pas réévaluées, elles sont généralement désuètes après vingt années de crédit.

Au bout de trois ou quatre échéances impayées, la caution paye le prêteur. Dans le même temps, elle se rapproche de l’emprunteur afin de trouver des solutions amiables. Si aucune issue n’est possible, l’établissement caution procède en premier lieu à une inscription d’hypothèque judiciaire aux frais de l’emprunteur et ensuite à la saisie et à la vente du bien afin de se faire rembourser.

Ce mécanisme est extrêmement onéreux pour l’emprunteur.


L’hypothèque

L’hypothèque est une garantie traditionnelle consentie par l’emprunteur sur son bien immobilier. Elle doit être établie par le notaire et publiée au Service de publicité foncière.

L’inscription hypothécaire est valable, pour toute la durée du prêt, plus 1 an, mais elle ne peut excéder 50 ans. Toutefois, l’hypothèque est sans effet à l’issue du paiement de la dernière échéance du prêt.

Puis, après cette année, l’inscription tombe d’elle-même et disparaît sans frais, ni formalités . L’emprunteur peut vendre son bien immobilier avant la fin du crédit. Dans ce cas, il doit obtenir la main levée de l’hypothèque. En cas de défaut de paiement de l’emprunteur, si aucune solution amiable n’est trouvée, le créancier met sa garantie en jeu en faisant procéder à la saisie du bien puis à sa vente.


Privilège de prêteur de deniers

Le privilège de prêteur de deniers se présente lorsque le prêt est destiné à l’acquisition du bien.

Il a les mêmes effets que l’hypothèque, mais présente un avantage puisqu’il n’est pas soumis à la taxe de publicité foncière . Il est donc moins couteux pour l’emprunteur.

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Avant leur baisse annoncée, l’essentiel sur les frais de notaire

Dans le neuf, les frais de notaire se révèlent moins élevés que dans l’ancien. Alors qu’une baisse de leur montant est prévue pour le 1er janvier 2021, revenons sur leur composition.

Frais de notaire, quelle différence entre le neuf et l’ancien ?

La vente d’un bien immobilier, rappelons-le, doit obligatoirement intervenir devant notaire afin d’être authentifiée. Au prix de vente s’ajoutent alors des frais notariés pour l’acquéreur. Or, ces frais ne sont pas les mêmes selon qu’il s’agit d’un logement acheté dans le neuf ou sur le marché de l’ancien. La différence est d’ailleurs notable. Dans l’ancien, les frais de notaire représentent entre 7 % et 8 % du montant total de la vente, alors que dans le neuf ils se situent entre 2 % et 3 %.

Quelle est la part des taxes ?

L’expression « frais de notaire », bien que communément admise, n’en est pas moins impropre. En effet, 80 % de ces « frais » équivalent à des taxes redevables au Trésor public et aux collectivités territoriales (département et commune) où le bien est implanté. Le notaire, en tant qu’officier public, ne fait que les percevoir au nom de l’État et des collectivités.
Ses émoluments, autrement dit ses honoraires, sont, quant à eux, compris dans les 20 % restants. Compte tenu de ces proportions, certains préfèrent donc parler de « frais d’acquisition » plutôt que de « frais de notaire ».

De quelles taxes s’agit-il ?

Les taxes en question sont appelées droits de mutation, ou droits d’enregistrement. Perçus dès qu’un bien change de propriétaire, ces droits recouvrent une taxe départementale (susceptible de varier, mais généralement de 4,50 % du prix d’achat), une taxe communale (1,20 %) et des frais d’assiette et de recouvrement perçus au profit de l’État (2,37 % du montant du droit départemental). Le taux global maximal d’imposition atteint ainsi 5,81 % du prix d’achat, auquel vient s’ajouter une contribution de sécurité immobilière de 0,10 %.
Dans le cas d’un logement neuf ou acheté sur plan, seules une taxe de publicité foncière au taux réduit de 0,71 % et la contribution de sécurité immobilière au taux de 0,1 % sont applicables.

Quelle est la part des émoluments du notaire ?

En matière de vente immobilière, comme c’est le cas pour ses autres prestations principales, les émoluments du notaire – ses tarifs – sont définis par voie réglementaire. Ils sont proportionnels au prix de vente du bien immobilier. À l’arrivée, leur montant équivaut à 10 % des frais de notaire.
Les 10 % restants correspondent aux débours, c’est-à-dire aux sommes acquittées par le notaire pour le compte du client. À savoir, la rémunération d’intervenants, le coût des différents documents (demandes d’états-civils, par exemple), ou encore les frais exceptionnels engagés à la demande du client.

  À SAVOIR   Les changements prévus pour 2021
La baisse des frais de notaire prévue pour le 1er janvier 2021, par un arrêté du 28 février 2020, ne concernera pas les droits de mutation, mais seulement la rémunération du notaire. La baisse sera en moyenne de 1,9 % sur les honoraires. L’arrêté prévoit également la possibilité pour les notaires d’accorder des remises allant jusqu’à 20 % (contre 10 % actuellement) pour les ventes de plus de 100 000 € (contre 150 000 €).
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L’impôt sur la fortune immobilière (IFI)

L’impôt sur la fortune immobilière (IFI) est un impôt sur le patrimoine immobilier des particuliers, et remplace l’ISF depuis 2018. Il est dû par les contribuables dont le patrimoine immobilier excède le seuil de à 1 300 000 €.

 

Quelles sont les personnes imposables à l’IFI ?

  • Les personnes physiques fiscalement domiciliées en France sont, en principe, assujetties à l’IFI à raison de tous leurs biens immobiliers (qu’ils soient situés en France ou à l’étranger).
  • Les personnes physiques fiscalement domiciliées à l’étranger sont assujetties à l’IFI à raison de leurs seuls biens situés en France.
  • Les personnes qui rentrent en France après avoir résidé à l’étranger les 5 dernières années ne sont, pendant les 5 années qui suivent leur retour, imposables à l’IFI que sur leurs biens situés en France.

Comment calculer son IFI ?

L’imposition se calcule par foyer fiscal.

Une personne vivant seule (célibat, veuvage, divorce, séparation) constitue, en elle-même, un foyer fiscal à part entière.

Les couples mariés forment un même foyer fiscal et font donc, à ce titre, l’objet d’une imposition commune sur l’ensemble de leurs biens (biens propres et biens communs),  quel que soit leur régime matrimonial . Il existe néanmoins deux exceptions à ce principe :

  1. Lorsque les époux sont mariés sous le régime de la séparation et qu’ils vivent séparément, chacun des conjoints ne sera redevable de l’IFI que sur son patrimoine personnel ;
  2. Lorsque les époux, en instance de séparation de corps ou de divorce, sont autorisés à vivre séparément ;

Font également l’objet d’une imposition commune au titre de l’IFI sur l’ensemble de leur patrimoine (commun ou non) :

  • les personnes vivant en concubinage notoire ;
  • les personnes pacsées.

Attention : les biens appartenant aux enfants mineurs sont imposés, et donc déclarés avec ceux de leurs parents qui ont l’administration légale de leurs biens. Ils peuvent être répartis par moitié entre les deux parents lorsque ces derniers font l’objet d’une imposition séparée à l’IFI tout en exerçant conjointement l’autorité parentale. En revanche, les biens appartenant en propre aux enfants majeurs n’entrent pas dans le patrimoine imposable de leurs parents et ce, même si les enfants ont demandé leur rattachement au foyer fiscal de leurs parents en matière d’impôt sur le revenu.


Quel sont les biens imposables à l’IFI ?

Sous réserve d’exonérations, les biens imposables à l’IFI sont les biens, droits et valeurs appartenant au foyer fiscal au 1er janvier, et notamment :

  • Les immeubles bâtis (maisons, appartements, etc.), et non bâtis (terrains, terres agricoles, etc.). A noter que la résidence principale bénéficie d’un abattement de 30 % sur sa valeur.
  • Les placements liés à l’immobilier : SCPI, OPCI
  • La fraction de la valeur de rachat au 1er janvier 2018 représentative des actifs immobiliers imposables compris dans les unités de compte des contrats d’assurance-vie.

Les patrimoines immobilier dont la valeur nette au 1er janvier est inférieure à 1 300 000 € ne sont donc pas soumis à l’IFI.


Quels sont les biens exonérés d’IFI ?

Sont notamment exonérés :

  • les biens immobiliers professionnels, c’est-à-dire les biens nécessaires à l’exercice de la profession constituant l’activité principale du contribuable et de son conjoint, partenaire pacsé, concubin, et des enfants mineurs : fonds de commerce, terres agricoles, cabinet médical, etc.). La location meublée professionnelle ouvre droit à l’exonération.
  • à concurrence des 3/4 de leur valeur, les bois et forêts ainsi que les parts de groupements forestiers (en revanche, les parts de sociétés d’épargne forestière n’ouvrent pas droit à exonération).

IFI : quel est le passif déductible ?

Il s’agit des dettes immobilières à la charge du contribuable au 1er janvier de l’année d’imposition notamment :

  • des emprunts immobiliers en cours (à hauteur du capital restant dû) ;
  • des dettes liées au paiement de travaux d’amélioration, de construction, de reconstruction ou d’agrandissement ;
  • des impôts non encore payés à raison des propriétés immobilères comme la taxe foncière. La taxe d’habitation n’est pas déductible.

 

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Les garanties de la VEFA

Les garanties de la VEFA

La VEFA présente l’avantage d’apporter des garanties à l’acquéreur, d’ordre financier et technique :

1. La garantie d’achèvement de l’immeuble

La garantie d’achèvement de l’immeuble a pour objet d’assurer à l’acquéreur l’achèvement de l’immeuble, en cas de défaillance du promoteur, par le versement des sommes nécessaires à cet achèvement. Elle peut être fournie par un organisme bancaire, de caution ou d’assurance.

2. La garantie phonique

Le promoteur est tenu de livrer un bien respectant les exigences réglementaires en matière d’isolation phonique. Le promoteur est garant de cette obligation pendant un an à compter de l’entrée dans les lieux par le premier acquéreur. Lorsqu’ils sont de nature à porter atteinte à l’habitabilité du bien, les désordres acoustiques peuvent relever de la garantie décennale du promoteur.

3. La garantie des vices apparents

Le promoteur est également tenu de la garantie des vices de construction apparents comme tout vendeur. Toutefois, en VEFA, l’acquéreur ne pouvant voir le bien qu’il acquiert lors de la vente, cette garantie court pendant un an à compter de la réception des travaux ou de l’entrée dans les lieux de l’acquéreur. Les vices apparents ne doivent pas être confondus avec les défauts de conformités apparents. Ces derniers sont appréciés par rapport aux engagements contractuels du promoteur. Ils doivent être dénoncés dans les mêmes délais que les vices apparents (un an à compter de la prise de possession des lieux).

4. La garantie de parfait achèvement

Juridiquement, la garantie de parfait achèvement est due par l’entreprise qui a réalisé les travaux envers le promoteur, pendant le délai d’un an suivant la réception de l’immeuble. Toutefois, pour faciliter la réparation des désordres pouvant survenir dans cette période, le promoteur est l’interlocuteur privilégié de l’acquéreur. Il est donc généralement prévu que ces désordres lui soient signalés afin que le promoteur puisse rappeler l’entreprise concernée et ainsi remédier au plus vite à ces désordres.

5. La garantie biennale

Le promoteur est tenu du bon fonctionnement des éléments d’équipement du bien vendu. Cette garantie court pendant un délai de deux ans à compter de la réception.

6. La garantie décennale

Le promoteur est responsable des vices cachés portant atteinte à la solidité ou à la destination du logement, susceptibles de survenir dans un délai de 10 ans suivant la réception de l’immeuble. L’assurance dommages-ouvrages (DO), à laquelle le promoteur est tenu de souscrire et dont il transfère le bénéfice à l’acquéreur, préfinance les travaux de réparation de ces désordres. Les désordres, qui ne répondent pas à ces critères relèvent de la responsabilité contractuelle du promoteur. Ils doivent également être dénoncés dans un délai de 10 ans à compter de la réception de l’immeuble.

 

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Le coût réel de la location de votre logement

Pour constituer leur patrimoine immobilier ou simplement pour mieux maîtriser leurs dépenses, 8 % des résidents Genevois/vaudois ont décidé de ne plus être locataires. Être locataire a aussi un prix qu’il faut appréhender dans sa globalité.

Être locataire, c’est payer un loyer mensuel qui va augmenter au fil des années. Si votre propriétaire n’en a pas l’obligation, il peut parfaitement appliquer une hausse chaque année ( selon contrat de location en vigueur) à la date anniversaire de la signature du bail.

Si cette augmentation basée sur l’indice de référence des loyers ne semble pas très importante, cumulée au fil des années, elle représente une véritable différence avec le loyer initial.

Lorsque vous décidez de devenir propriétaire, en optant pour un crédit immobilier à taux fixe, votre mensualité ne change pas, que vous empruntiez durant 10, 15, 20 ou 25 ans. C’est l’assurance de mieux maîtriser votre budget et d’éviter ces augmentations annuelles.

D’autre part, on imagine souvent qu’un loyer est moins cher qu’une mensualité de crédit, or, avec les taux extrêmement bas dont nous jouissons depuis quelques années, la situation n’est plus la même.

Selon Seloger, le prix moyen du mètre carré en France est de 14 €. Pour un ménage vivant dans 70 m², cela coûte mensuellement 980 €. Annuellement, cela représente une dépense de 11 760 €. En 20 ans, la durée moyenne d’un crédit en France, cela représente un coût de 235 200 €.

En suisse, notamment a Genève/Vaud, le prix au mettre carré est de 342 €. Pour un ménage vivant dans 70 m², cela coute mensuellement 2000 CHF. Annuellement, cela représente une dépense de 22.000 CHF. En 20 ans, la durée moyenne d’un crédit en France pour un bien immobilier identique serai de 350.000 €.

 

Les dépenses énergétiques amputent le budget mensuel

Être locataire d’un logement, c’est n’avoir aucune prise sur ses caractéristiques et ses équipements. Beaucoup de locations sont des passoires énergétiques, cela coûte une fortune aux locataires qui, parfois, choisissent même de couper le chauffage tant la facture est élevée.

En achetant un logement aux dernières normes, appartement ou maison, les dépenses énergétiques sont bien plus faibles, il est possible de diviser par 2 ou 3 votre facture de chauffage, c’est loin d’être un détail pour de nombreux ménages.

Le stationnement : une dépense importante

Les locataires partant du principe qu’ils préfèrent payer un loyer ou qu’ils pensent ne pas pouvoir rembourser un crédit immobilier, ne songent pas nécessairement non plus à acheter une place de parking. De ce fait, lorsqu’ils vivent en ville, ils sont parfois amenés à louer aussi un emplacement pour stationner. 

Or, comme c’est le cas pour le loyer, si l’on réalise un calcul à long terme, le coût du stationnement sera bien plus élevé à la location qu’à l’achat.

Les déménagements coûtent cher

Enfin, devenir propriétaire, c’est avoir la liberté de rester tant que l’on souhaite dans notre logement. En étant locataire d’un appartement ou d’une maison, nous maîtrisons moins notre destin. Le propriétaire peut rompre le bail dans certains cas bien précis ou choisir de ne pas le renouveler.

Cela multiplie les risques d’être contraint de déménager, or, le déménagement a un coût. Tandis qu’un locataire reste en moyenne 6 ans dans un logement, un propriétaire y reste 15 ans.