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Investir dans l’Immobilier Frontalier : Une Alternative Rentable aux Loyers Élevés de Genève

 Investir dans l’Immobilier Frontalier : Une Alternative Rentable aux Loyers Élevés de Genève

Avec les loyers atteignant des sommets à Genève, de nombreux investisseurs et résidents se tournent vers une solution avantageuse : l’achat de biens immobiliers dans la région frontalière. Cette tendance, loin d’être un phénomène éphémère, représente une opportunité stratégique tant pour les investisseurs avertis que pour ceux cherchant à établir leur résidence principale.

Pourquoi Choisir la Région Frontalière ?

  1. Coût Avantageux : Comparé aux prix élevés de Genève, la région frontalière offre des options d’achat à des tarifs plus accessibles, permettant aux acheteurs de profiter d’un meilleur rapport qualité-prix.
  2. Proximité et Connectivité : Située à une courte distance de Genève, cette région bénéficie d’une excellente connectivité, permettant un accès facile aux centres d’affaires, aux zones commerciales et aux services essentiels.
  3. Qualité de Vie : En plus de l’avantage financier, la région frontalière offre un cadre de vie paisible, avec moins de densité urbaine et un accès privilégié à des espaces naturels.

Investissement Stratégique : L’achat dans la région frontalière est un investissement stratégique pour plusieurs raisons :

  • Potentiel de Plus-Value : La demande croissante pour des logements abordables à proximité de Genève augmente le potentiel de plus-value à long terme.
  • Location Facilitée : La demande locative reste forte, offrant aux propriétaires l’opportunité de générer des revenus locatifs stables.

Face à l’escalade des loyers à Genève, l’achat de biens immobiliers dans la région frontalière représente une option judicieuse pour les investisseurs et les résidents en quête de qualité de vie

et de rentabilité. En équilibrant accessibilité financière, qualité de vie, et potentiel de croissance, ces zones offrent une opportunité unique dans le paysage immobilier suisse.

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Les Tendances Actuelles du Marché Immobilier dans la Région du Bassin Genevois

Les Tendances Actuelles du Marché Immobilier dans la Région du Bassin Genevois

Le marché immobilier dans la région du bassin genevois, connue pour son dynamisme et sa diversité, continue d’évoluer. Comprendre ces tendances est essentiel pour les acheteurs et les investisseurs qui cherchent à prendre des décisions éclairées.

Évolution des Prix Immobiliers

Récemment, le marché a montré des signes de croissance stable. Les prix des biens immobiliers dans la région ont connu une augmentation modérée, reflétant une demande soutenue. Cette tendance suggère un marché en bonne santé, offrant à la fois des opportunités pour les investisseurs à long terme et des options viables pour les acheteurs résidentiels.

Types de Propriétés les Plus Demandés

Les appartements en centre-ville et les maisons familiales en périphérie sont particulièrement recherchés. Cette demande est alimentée par une combinaison de facteurs, notamment l’urbanisation croissante et le désir de plus d’espace et de confort, particulièrement mis en évidence par les récentes tendances du télétravail.

Zones les Plus Prisées

Certaines zones, comme les quartiers proches du centre de Genève, restent hautement prisées pour leur proximité avec les centres d’affaires et les commodités urbaines. Par ailleurs, les zones plus éloignées offrent plus d’espace et une meilleure qualité de vie, attirant ainsi les familles et ceux qui cherchent un équilibre entre travail et vie personnelle.

Conseils pour les Acheteurs et Investisseurs

Naviguer sur le marché immobilier actuel exige une compréhension approfondie des tendances et une stratégie bien pensée. Il est conseillé de travailler avec un agent immobilier expérimenté pour identifier les meilleures opportunités, comprendre les nuances du marché local, et négocier efficacement.

Conclusion

Le marché immobilier dans la région du bassin genevois offre des opportunités diverses tant pour les acheteurs résidentiels que pour les investisseurs. Avec une approche informée et stratégique, il est possible de trouver des options qui correspondent à vos besoins et objectifs.

Appel à l’Action

Si vous souhaitez explorer plus en détail les options disponibles ou obtenir des conseils personnalisés, n’hésitez pas à visiter notre site ou à contacter notre équipe. Nous sommes là pour vous guider dans votre parcours immobilier.

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Pourquoi investir dans l’immobilier neuf en Haute-Savoie ?

Stimulé par les travailleurs transfrontaliers et le tourisme, le marché immobilier de la Haute-Savoie se révèle extrêmement dynamique. Ce département proche de la Suisse est un endroit privilégié pour réaliser un investissement immobilier.

 

Vous cherchez le meilleur endroit pour réaliser un investissement immobilier locatif ? Très attractif, le département de Haute-Savoie cumule de nombreux avantages.

En effet, la proximité de la Suisse attire de nombreux travailleurs transfrontaliers et l’environnement naturel d’exception en fait un endroit affectionné par les touristes.

Agence Immobilière sur Suisse, Wayne Home Investments  vous propose des logements neufs en Haute-Savoie disponibles à la vente.

 

Investissement immobilier en Haute-Savoie : un placement stratégique

Investir dans l’immobilier reste le moyen le plus sécurisé de faire fructifier son argent et de se constituer un patrimoine. Pour réaliser un placement avantageux dans la pierre locative, l’emplacement du bien est primordial. En effet, la rentabilité locative est conditionnée par le fait de louer son logement un maximum de temps. La vacance locative – période où le logement acquis est inoccupé – doit être réduite au minimum.

Choisir la Haute-Savoie pour votre investissement locatif vous garantit une rentabilité intéressante, car un logement en location trouve rapidement preneur. Affichant la plus forte croissance démographique de l’Hexagone (+1,4 % par an) selon l’Insee, la Haute-Savoie constitue un secteur privilégié pour un investissement locatif.

La proximité de la Suisse : un atout pour votre investissement

L’attractivité de la Haute-Savoie s’explique d’abord par sa situation géographique. Bordée par la Suisse et les Alpes, ce département accueille de nombreux travailleurs transfrontaliers qui décident d’habiter côté français en raison des loyers moins élevés. L’Insee estime que plus de 1 actif sur 5 résidant en Haute-Savoie traverse quotidiennement la frontière pour se rendre au travail.

La région genevoise se distingue par une économie florissante et concentre de nombreux sièges sociaux de grandes entreprises notamment du secteur bancaire, de l’horlogerie de luxe, des biotechnologies ou encore du transport aérien. Cette spécificité du territoire stimule le marché immobilier, porté par une forte demande locative des actifs exerçant en Suisse.

 

Lac et montagnes : un environnement naturel d’exception

Au pied des Alpes, la Haute-Savoie séduit aussi par sa qualité de vie et son fabuleux patrimoine naturel

Immobilier neuf en Haute-Savoie

Entre Annecy, cité médiévale réputée pour ses charmants canaux qui lui valent le surnom de Venise des Alpes, le lac d’Annecy et ses eaux bleu turquoise et les montagnes aux sommets enneigés environnantes, la Haute-Savoie ne manque pas d’attirer chaque année des milliers de touristes. En hiver, les stations de ski accueillent notamment une clientèle internationale fortunée.

Si vous achetez un appartement neuf dans ce secteur, vous pouvez envisager la location saisonnière. Globalement, les villes de Haute-Savoie (Annecy, Thonon-les-Bains, Annemasse, Chamonix-Mont-Blanc) sont particulièrement appréciées pour leur qualité de vie en pleine nature.

Investissement locatif en Haute-Savoie : bénéficier de la loi Pinel

Dans le cadre d’un investissement locatif, vous pouvez – sous conditions – profiter d’une réduction d’impôt sur plusieurs années. Comment ? Grâce à la loi Pinel, un dispositif de défiscalisation mis en place par l’État en 2014 pour inciter les propriétaires d’un logement neuf à le mettre en location.

Les critères d’éligibilité à la loi Pinel concernent :

  • La localisation du logement : celui-ci doit être situé en zones A bis, A ou B1, identifiées par l’État comme les secteurs où la tension immobilière est la plus forte (demande de logement supérieure à l’offre)
  • Les revenus du locataire : ceux-là doivent respecter les plafonds définis dans la loi
  • Le montant du loyer : doit rester inférieur aux plafonds édictés par la loi
  • Le type de bien immobilier et son usage : il doit être neuf et occupé à titre de résidence principale

Si toutes les conditions sont respectées, le propriétaire peut profiter d’une réduction d’impôt étalée sur plusieurs années, égale à un montant correspondant à 12 %, 18 % ou 21 % du prix d’achat du bien immobilier. Investir en Haute-Savoie offre l’opportunité de devenir propriétaire tout en diminuant ses impôts. 

Ainsi, de nombreuses villes de Haute-Savoie comme Annemasse (zone A), Annecy (B1), Thonon-les-Bains (B1), Saint-Julien-en-Genevois (A), sont des zones éligibles à la loi Pinel.

Wayne Home Investments, votre agence privilégié pour un achat immobilier dans le neuf plus serein.

 

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Le logement : futur lieu de travail ?

La réforme du Code du travail prévoit la possibilité pour les salariés de demander à travailler occasionnellement à la maison. Et les Suisses, sont majoritairement favorables à ce que le logement devienne de temps en temps, un lieu de travail.

Les sondages sont nombreux à le démontrer : les Suisses ainsi que les Français se sentent bien chez eux. Un lieu de convivialité qui s’avère également être un endroit où le travail a sa place.

Les récentes annonces du gouvernement vont d’ailleurs dans ce sens avec un assouplissement des règles concernant le télétravail. Les salariés peuvent demander à leur employeur d’exercer leur activité à domicile de façon occasionnelle. À l’employeur de motiver sa décision en cas de refus. Tous les détails des nouvelles modalités applicables sont consultables sur le site de l’Administration.

25% des salariés français pratiquent le télétravail au moins une journée par semaine (Etudé IFOP 2018). Les chiffres officiels du Ministère du Travail révèlent quant à eux que 61% des salariés se laisseraient tenter par le télétravail s’ils en avaient la possibilité.

Cadre familier = productivité accrue

Pour le salarié, travailler à la maison présente de nombreux avantages :

  • Moins de stress et de temps perdu liés aux transports
  • Moins d’interaction « directes » à gérer
  • Autogestion (ambiance sonore, position de travail, rythme de travail…)

Pour l’employeur, le travail à domicile est aussi l’occasion d’optimiser la productivité, En moyenne :

  • 150 interruptions par jour en open space contre 40 à 50 en télétravail

Enclins à compenser le temps gagner hors des transports, 57% des télétravailleurs indiquent travailler plus longtemps chez eux qu’au bureau (sondage Obergo).

Un marché en création

Le logement est le lieu de réunion de la famille et le théâtre de la majeure partie des loisirs. Les Français n’ont pas peur de devoir y travailler. Preuve en est avec le développement de dizaines de tutoriels destinés à aménager un espace de bureau à la maison.

Toutes les habitations ne sont en effet pas pourvues d’un tel aménagement. Beaucoup n’y ont d’ailleurs surement pas pensé au moment d’acheter, y compris les logements neufs où le choix est permis.

 

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Confort et économies d’énergie : deux avantages du neuf

Bien plus qu’un style de vie, habiter dans un logement neuf confère un maximum de confort, tout en réalisant des économies d’énergie, et donc de charges ! Les réglementations et les progrès techniques favorisent cette réduction de consommation en énergie des logements neufs, de leur conception à leur utilisation. Tour d’horizon.

Le confort du neuf au quotidien

Habiter un logement neuf vous permet de profiter d’équipements innovants qui améliorent votre quotidien : chaudières dernière génération ou robinetterie économe équipée de mitigeurs-mousseurs régulateurs de débit : 30% à 70% pour d’eau économisée pour chaque robinet.

Les logements neufs sont par exemple équipés de volets automatiques qui se ferment en fonction de la température extérieure et de lumières qui s’éteignent quand vous quittez une pièce. Quant aux objets connectés, ils vous permettent de suivre vos consommations et de régler à distance les niveaux de luminosité et de chauffage.

Une consommation énergétique divisée par 10 en 20 ans

La première réglementation thermique a été mise en place après le premier choc pétrolier en 1974. L’objectif n’était pas encore de protéger l’environnement, mais de réduire la consommation énergétique, et donc la dépendance aux énergies fossiles. À l’époque, le seuil annuel de consommation était de 225 kWh/m2.

Ce seuil a été ramené à 130 kWh/m2 en 2000, à 50 kWh/m2 en 2012 puis à 13 kWh/m2 en 2020. Ces seuils sont exprimés en énergie primaire*. Tous les logements neufs répondent aujourd’hui à la RT 2012, et répondront à partir de 2021 à la nouvelle réglementation environnementale, qui introduit les bâtiments à énergie positive : RE 2020.

La Réglementation Thermique 2012 (RT 2012) actuellement en vigueur s’applique :

  • au chauffage ;
  • à la climatisation ;
  • à la ventilation ;
  • à la production d’eau chaude dans les installations sanitaires ;
  • à l’éclairage.

Une isolation acoustique et thermique renforcée

Les exigences de la RT 2012 renforcent ainsi les qualités d’isolation thermique des logements neufs, avec une épaisseur minimale d’isolation, des doubles voire triples vitrages, et des revêtements de sol contemporains qui améliorent l’isolation grâce à leurs composants novateurs. L’objectif étant de diminuer les pertes de chaleur.

Pour ce qui est du confort acoustique, l’installation de chapes flottantes est une solution souvent utilisée dans les constructions neuves, car elle permet d’atténuer les bruits entre les logements de façon pérenne.

Des économies de charges à la clé

La performance énergétique des logements neufs est pensée dès leur conception pour que les coûts liés à la consommation d’énergie soient maîtrisés. Les architectes réfléchissent ainsi à une orientation idéale, en privilégiant par exemple l’exposition au sud avec des surfaces vitrées pour les pièces à vivre. Les occupants peuvent alors profiter d’une lumière naturelle et réduire leur éclairage artificiel, poste de consommation majeur dans un logement. En plus d’alléger leur facture d’électricité, les propriétaire d’un logement neuf tirent leur épingle du jeu sur les autres postes de consommation en effectuant des économies non négligeables sur leur facture d’eau et chauffage.

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Comment réussir son premier achat immobilier ?

Comment réussir son premier achat immobilier ?

Vous souhaitez devenir propriétaire ? Vous ne savez pas quels sont les critères de sélection à connaître pour réussir votre premier achat immobilier ? Découvrez les différentes étapes pour réussir une aventure à portée de main !

Premier achat immobilier : identifier ses besoins

Acheter un bien immobilier nécessite de prendre en compte plusieurs paramètres afin de s’assurer la réussite d’un tel investissement. Il est donc indispensable d’identifier vos différents besoins avant de devenir propriétaire. Pour identifier ses besoins, il est primordial de se poser les questions suivantes :

  • Quel secteur géographique choisir pour réaliser un achat immobilier ?
  • La situation géographique sélectionnée est-elle stable économiquement ?
  • Est-ce un investissement immobilier locatif ou un achat pour une résidence principale ?
  • Neuf ou ancien ?
  • Maison ou appartement ?
  • Quel est le budget prévu pour ce premier achat ?

Selon les besoins identifiés, les risques et les enjeux ne seront pas les mêmes. Selon la région sélectionnée, vos capacités de financement et vos critères de choix, vous permettront de définir diverses possibilités.

Étudier le marché immobilier est essentiel

Devenir propriétaire (qu’il s’agisse d’une résidence principale ou d’un investissement locatif) requiert d’étudier avec attention le marché immobilier de votre région. Selon l’emplacement de votre bien, les coûts engendrés et vos possibilités d’emprunt ne seront pas les mêmes. Pour se faire, il est nécessaire de prendre le temps d’étudier en détail les offres immobilières de la ville de votre choix, les chiffres réels en fonction des quartiers et de la typologie du bien recherché. Il est également important de multiplier les comparaisons pour obtenir une meilleure vision du marché immobilier local. Pour éviter les mauvaises surprises réaliser un achat immobilier neuf est plus sûr.

Définir clairement ses capacités d’emprunt

Vous souhaitez acheter seul ou en couple ? Quelle que soit votre situation personnelle ou géographique, il est indispensable de définir clairement vos moyens d’emprunt. Acheter seul ou à deux n’engendre pas les mêmes possibilités de financement et de remboursement. Faire le point avec votre banque vous permettra d’étudier les différents dispositifs et aides mis à disposition pour réussir votre premier achat immobilier. Il existe de nombreux dispositifs bancaires ou aides de l’État pour faciliter le financement de votre futur logement :

  • Le prêt à taux zéro aide à la réussite d’une première acquisition.
  • Le prêt épargne logement aide à l’achat d’une résidence principale.
  • Le prêt d’accession sociale est mis à la disposition des primo-accédants avec un taux réglementé.
  • Le prêt conventionné est fait pour acheter ou construire une résidence principale avec comme seul impératif d’habiter le logement moins d’un an après son achat.
  • Le dispositif Pinel permet d’investir dans l’immobilier neuf en bénéficiant d’une défiscalisation.

Ces différents dispositifs facilitent la réalisation d’un emprunt adapté à votre situation personnelle. Vous optimisez ainsi la réussite de votre premier achat immobilier.

Louer ou acheter son logement ?

Cette question est essentielle pour choisir le meilleur système de financement et minimiser les risques lors d’un premier achat. SI vous optez pour une résidence principale, le calcul d’un prêt immobilier ainsi que ses mensualités ne seront pas les mêmes que lors d’un investissement locatif. Réaliser un premier achat pour un investissement locatif peut s’accompagner d’une vision à long terme de votre patrimoine. Par exemple, si votre ville propose des offres immobilières trop élevées par rapport à vos capacités d’emprunt, effectuer un investissement locatif dans une ville plus accessible vous assure d’être propriétaire sans pour autant devoir revoir vos critères de choix s’il s’agissait d’une résidence principale. Aujourd’hui « investir dans la pierre » est une valeur sûre. Constituer un patrimoine immobilier c’est aussi anticiper sur son futur. Si vous souhaitez acheter votre première résidence principale les critères de sélection et les enjeux sont multiples. Cependant la réussite de votre premier achat dépend de vos besoins à venir.

Quels sont les avantages à acheter un logement neuf ?

Devenir propriétaire n’est pas toujours facile. Qu’il s’agisse d’une première acquisition ou d’un investissement locatif il vaut mieux agir avec anticipation. Dans les questions abordées ci-dessus, opter pour un logement neuf ou ancien est primordial. Acheter dans l’ancien est parfois une prise de risques plus importante qu’acheter dans le neuf. Un logement ancien peut comporter des vices cachés découverts quelques années après l’achat. Tandis qu’un logement neuf vous assure de bénéficier de plusieurs garanties (garantie biennale, garantie décennale, garantie contre les défauts d’isolation phonique) ainsi que d’une fiscalité avantageuse (frais de notaire bas et réduction d’impôts grâce à la loi Pinel ou loi Censi-Bouvard selon le type d’investissement réalisé).

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Achat sur plan : quelles garanties en cas de malfaçon ?

Achat/vente sur plan : un acte réglementé

L’achat sur plan ou vente en l’état futur d’achèvement (Vefa) est strictement réglementé. L’achat sur plan est ainsi clairement défini par le Code civil. Il s’agit d’un « contrat par lequel le vendeur transfère immédiatement à l’acquéreur ses droits sur le sol ainsi que la propriété des constructions existantes. Les ouvrages à venir deviennent la propriété de l’acquéreur au fur et à mesure de leur exécution ; l’acquéreur est tenu d’en payer le prix à mesure de l’avancement des travaux. Le vendeur conserve les pouvoirs de maître de l’ouvrage jusqu’à la réception des travaux » (article 1601-3).

 

Concrètement, cela signifie que l’on achète un logement avant sa construction. Le paiement s’effectue au fur et à mesure de l’achèvement des travaux. Les pourcentages maximaux du montant de l’achat dus à chaque étape de la construction sont fixés par la loi :

  • 35% du prix de vente lors de la pose des fondations
  • 70% à la mise « hors d’eau » (lors de la pose de la toiture)
  • 95% du prix à la fin des travaux
  • Solde de 5% à la livraison.

Lorsque l’on fait construire une maison individuelle, ces pourcentages maximaux diffèrent :

  • 20% du prix de vente à l’achèvement des fondations
  • 45% à la mise « hors d’eau »
  • 85% à l’achèvement de la maison
  • Solde de 15% à la livraison.

Achat sur plan : l’assurance dommages-ouvrage

L’assurance dommages-ouvrage, comprise dans le prix d’achat du logement, est souscrite par le vendeur pour le compte de l’acquéreur. Obligatoire lorsque l’on fait appel à un promoteur immobilier, elle couvre, dix ans après l’expiration de la garantie de parfait achèvement, les désordres relevant de la garantie décennale.

L’assurance dommages-ouvrage permet à l’acquéreur de faire effectuer les réparations nécessaires plus rapidement, puisque c’est l’assureur qui prend en charge le paiement des travaux. Celui-ci se tourne ensuite vers l’entrepreneur défaillant pour qu’il règle le montant de la facture. Dans le cas d’un achat sur plan, l’assurance évite ainsi aux propriétaires les faux-fuyants ou les retards de travaux pour cause d’expertise des entrepreneurs auteurs de malfaçons.

Problèmes à la réception du logement : que faire?

Lors d’un achat sur plan, il y a toujours l’appréhension de malfaçons à la livraison. Rassurez-vous des garanties existent.

Des défauts de peinture, une fenêtre qui ne s’ouvre pas, une douche à la place d’une baignoire … Dès qu’une malfaçon, un vice apparent ou une non-conformité entre le contrat signé et ce qui a été reçu apparaît, il faut envoyer une lettre recommandée avec accusé de réception au vendeur du bien. Car en signant le contrat de vente en l’état futur d’achèvement, l’acquéreur bénéficie d’un certain nombre de garanties.

La garantie de parfait achèvement oblige pendant un an l’entrepreneur et le constructeur à réparer tous types de désordres (fuite de radiateur, travaux de peinture, robinetterie défaillante, huisseries mal posées, etc.)

La garantie biennale : l’entrepreneur et le constructeur sont tenus de réparer tous les éléments d’équipement qui ne fonctionnent pas pendant deux ans à compter de la date de réception du logement. Par éléments d’équipement, on entend tout ce qui peut être détaché, remplacé ou enlevé du bâtiment (fenêtres, volets, baignoire, cuisine équipée, etc.)

La garantie décennale couvre pendant dix ans les défaillances du gros oeuvre (maçonnerie, charpente, couverture) et oblige l’entrepreneur et le constructeur à réparer ce qui peut compromettre la solidité du bâtiment.

La garantie d’isolation phonique est due au premier occupant du logement vendu. L’habitation doit répondre à des normes acoustiques définies par la loi (Code de la construction et de l’habitation article L111-11). Si le logement ne possède pas une isolation phonique suffisante (isolation qu’il faudra préalablement faire mesurer par un expert si on la juge insuffisante), l’entrepreneur et le constructeur se doivent d’y remédier dans l’année qui suit la prise de possession du logement.

Si les réparations ne sont pas effectuées, le juge de grande instance doit être saisi avant l’expiration du délai lié à chaque garantie (un, deux ou dix ans).

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5 astuces pour négocier un prêt immobilier

Préparer votre rendez-vous avec la banque

Pour que la négociation soit la plus « équilibrée » possible, n’hésitez pas à vous informer sur les tenants et les aboutissants d’un crédit : les différentes étapes, les éléments abordés pendant l’entretien, la marge de négociation traditionnelle, etc. Plus vous recueillerez d’informations en amont, plus vous serez à l’aise pendant le rendez-vous.

 

Apport personnel, assurance prêt immobilier, garanties, familiarisez-vous également avec le vocabulaire. Face à votre banquier, vous parlerez ainsi « le même langage ».

 

Enfin, renseignez-vous sur les taux pratiqués et la situation actuelle du marché immobilier. Notez qu’un contexte inhabituel (économique, politique ou sanitaire) peut rendre la négociation plus ou moins avantageuse.

Construire un dossier solide pour le crédit

Pour faciliter la négociation de votre emprunt, vous pouvez vous appuyer sur plusieurs éléments.

Le taux d’endettement

Le taux d’endettement définit votre capacité maximale de remboursement. La plupart des banques fixent ce taux à un tiers des revenus mensuels, soit 33%. Concrètement, si un ménage touche 3000€ cumulés par mois, et que son taux d’endettement est de 33%, les mensualités ne pourront pas dépasser 990€.

 

Notez qu’il ne s’agit pas là d’une règle immuable. La banque peut choisir de diminuer ce pourcentage à 30% si elle considère que vos ressources sont trop modestes. En revanche, si vous avez des revenus importants et stables, votre conseiller estimera peut-être que votre dossier emprunteur est suffisamment solide pour aller au-delà de ce pourcentage (35%, voire 40% dans certains cas).

Le reste à vivre

Cette notion désigne tout simplement le montant qu’il vous restera pour « vivre », après avoir payé l’ensemble de vos charges fixes (y compris votre mensualité de crédit). La majorité des banques fixent le seuil à 400€ par ménage (+ 150€ par personne à charge), mais certains établissements exigent au minimum 600€. Vous l’avez compris, plus cette somme est importante, plus vous aurez de poids pour négocier votre prêt.

L’apport personnel

Bien qu’il soit aujourd’hui possible d’acheter un bien sans apport, de nombreuses banques continuent d’appliquer ce principe. Ainsi, votre établissement peut vous demander une somme correspondant à 10% de la valeur du bien (par exemple 15 000 € d’apport pour un achat à 150 000€). Dans certains cas, un apport de 20 ou 30% peut vous permettre d’accéder à de meilleurs taux. Dans tous les cas, avec cette somme, vous prouvez votre capacité d’épargne à la banque.

Nous conseillers, proposent lors du premier entretien avec nous clients, un calcule de budget, ou nous respectons tous les critères en valeur, afin d’optimiser vous chance s d’acceptation de dossier de financement.

N’hésitez pas a remplir le formulaire de contact afin d’obtenir un rendez-vous découvert avec un de nous agents.

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Crédit immobilier : des taux toujours intéressants

Des taux d’intérêt au plus bas en février, des conditions d’accès aux crédits immobiliers assouplies par l’HCSF… autant d’indicateurs positifs pour les futurs acquéreurs.

En dépit de la crise sanitaire, le début de l’année 2021 semble propice à l’achat immobilier, et ce, même pour les ménages modestes. D’une part, les taux des crédits immobiliers pratiqués début février marquent une très forte baisse – atteignant des seuils inférieurs au niveau de décembre 2019.

D’autre part, le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) a assoupli le taux d’endettement maximal toléré pour l’obtention d’un prêt immobilier, faisant passer ce taux fatidique de 33 % à 35 %. Même si certaines banques se montrent encore réticentes à appliquer ces nouvelles directives, la conjoncture actuelle se révèle favorable à l’achat immobilier.

 

Prêt immobilier : des taux d’intérêt au plus bas en février

En ce premier trimestre 2021, les courtiers immobiliers ont constaté une diminution des taux des crédits immobiliers. En février dernier, les taux sont même descendus en dessous du plancher symbolique atteint en décembre 2019. Selon une étude, les taux moyens des emprunts immobiliers s’établissaient en février à 0,84 % sur 15 ans, 1,01 % sur 20 ans ou encore 1,26 % sur 25 ans.

Pour les meilleurs profils d’emprunteurs, le taux d’intérêt assorti au crédit pouvait même se fixer à moins de 1 %. Les établissements bancaires et organismes prêteurs pratiquent des taux historiquement bas en ce début d’année 2021. Ces records à la baisse s’expliquent notamment par le haut niveau d’épargne des Français, et des Suisses (21 % en 2020), qui pousse les banques à proposer des offres de prêt très attractives. La crise sanitaire a poussé les particuliers à économiser pour conforter ce « matelas » de sécurité.

Crédit immobilier : des conditions d’octroi assouplies par l’HCSF

Autorité macro prudentielle française, le Haut Conseil de Stabilité Financière a pour rôle de surveiller le système financier dans son ensemble. En décembre 2020, cette instance a formulé des recommandations relatives aux conditions d’octroi des crédits immobiliers.

Afin de soutenir le pouvoir d’achat des ménages, dans un contexte sanitaire et économique compliqué, l’HCSF a décidé d’assouplir le taux d’endettement maximum des ménages autorisé dans le cadre de l’attribution d’un prêt immobilier, en le faisant passer de 33 % à 35 %. Ces recommandations ont fait l’objet d’une publication officielle le 27 janvier 2021. L’objectif de l’HCSF ? Faciliter l’accès au crédit immobilier des particuliers.

Pour rappel, le taux d’endettement correspond au ratio entre charges fixes (remboursement de crédits…) et le reste à vivre des ménages. Jusqu’en janvier, au-delà de 33 %, les banques considéraient que le risque d’insolvabilité des clients trop élevé, ce qui motivait un refus de prêt.

Désormais, le curseur est donc placé à 35 %, ce qui augmente mécaniquement le nombre de ménages pouvant accéder à un crédit immobilier. Sur le papier du moins, car, dans les faits, peu de banques ont déjà revu leurs conditions d’octroi. Pour remédier à cette frilosité, l’HCSF compte rendre ses recommandations obligatoires dès l’été 2021.

 

Le bon moment pour réaliser un achat immobilier

Si vous n’êtes pas encore propriétaire de votre résidence principale ou si vous souhaitez investir dans l’immobilier pour faire fructifier votre argent, 2021 semble le bon moment pour concrétiser un projet immobilier.

Faisant un véritable pied de nez à la crise sanitaire, l’immobilier se porte bien, rassurant encore et toujours face à l’instabilité économique ambiante. Les records à la baisse des taux des crédits et à l’augmentation du taux d’endettement autorisé pour l’octroi d’un crédit favorisent l’accès au crédit immobilier, condition sine qua non pour réaliser un achat immobilier. Vous envisagez d’acheter un logement neuf pour le louer ? En fonction du secteur et de critères liés au logement et au locataire, vous pouvez parallèlement bénéficier à une réduction d’impôts grâce à la loi Pinel, reconduite jusqu’en 2022.

Vous envisagez d’acheter un logement neuf, veuillez remplir notre formulaire de contact, et un conseiller Wayne Home Investments vous appel afin de prévoir un entretien en agence.

 

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Acheter dans le neuf : les avantages fiscaux

Vous vous demandez s’il est avantageux fiscalement d’acheter dans le neuf en 2021? La réponse est oui ! Voici ce qu’il faut savoir sur les principaux dispositifs fiscaux.

Frais de notaire réduits

En achetant un logement neuf, c’est à dire en construction et qui n’a jamais été habité, vous bénéficiez de frais de notaire réduits : ils représentent 2 à 3% du prix du bien, contre 7 à 8% environ dans l’ancien. Ces frais incluent la rémunération du notaire ainsi que les impôts et les taxes payables au Trésor Public et aux collectivités locales.

 

TVA réduite

La loi permet aux acquéreurs d’un logement neuf de profiter dans certains cas d’une TVA réduite à 5,5%, au lieu de 20%. A noter que ce coup de pouce accordé selon des critères de ressources concerne uniquement les logements construits en zone ANRU ou dans des quartiers prioritaires de la ville (QPV). Sachez aussi que la TVA réduite est cumulable avec d’autres aides comme le Prêt à taux zéro

 

Exonération de la taxe foncière

En fonction des mairies, acheter dans le neuf peut vous permettre une exonération de la taxe foncière pendant deux ans. Pour en bénéficier, il suffit de remplir un formulaire dédié auprès du service des impôts fonciers, dans les 90 jours après l’achèvement du logement. L’exonération débutera à partir du 1er janvier de l’année qui suit l’achèvement de votre logement.

 

Réduction d’impôts

Si vous optez pour l’investissement locatif, vous pouvez bénéficier d’un avantage fiscal grâce au dispositif Pinel. Ce mécanisme permet une réduction d’impôt de 12% du prix du logement si vous louez pendant six ans, 18% sur neuf ans ou 21% sur douze ans.

 

 

Prêt à taux zéro (PTZ)

Grâce à ce prêt aidé par l’État, vous pouvez financer jusqu’à 40% de votre acquisition immobilière sans intérêts et avec des différés de remboursement, à condition que vous n’ayez pas été propriétaire de votre résidence principale au cours des 2 dernières années. Le PTZ dans le neuf a été reconduit dans toutes les zones jusqu’au 31 décembre 2021.

 

Prêt d’accession sociale

Le prêt d’accession sociale (PAS) permet de financer jusqu’à 100 % de votre projet dans l’immobilier neuf, hors frais de notaire. Le barème augmente en fonction du nombre de personnes destinées à occuper le logement. Le PAS est compatible avec d’autres prêts : PTZ, Prêt Épargne Logement (PEL), Prêt Action Logement

 

Aides régionales

Enfin, pensez à vérifier les aides régionales, départementales et locales dont vous pouvez bénéficier pour acheter dans le neuf. Ce seront autant de solutions complémentaires de financement. Vous les retrouverez notamment sur le site de l’ANIL (Agence nationale pour l’information sur le logement).